Anaïs est une orpheline de 14 ans (1174) qui a été prise en charge par Dame Eleonore. Depuis 2 ans, elle est dévouée à sa charge de servante (mais aussi de confidente). Dame Eleonore l'a sauvée de la misère depuis la mort de sa mère, et elle lui est éternellement reconnaissante.
D'un bon sens à toute épreuve, elle est habile dans ce qu'elle sait faire (cuisine, couture). Très timide, elle passe souvent inaperçue à coté de Dame Eleonore. Ce qui l'arrange dans la plupart des cas.
Ses cheveux noirs sont bien peignés, peut-être l'habitude de s'occuper d'Eleonore lui a inculqué un brin de savoir-vivre. Elle aime bien courir, même pour aller faire les courses au village où elle se rend avec Frénégonde "doigts-de-fée" qui lui confie alors son histoire au sein du "puits" si pittoresquement mystique.
Elle sait se défendre quand on l'approche de trop près, et son coup de poing vif a surpris plus d'un goujat. Ulric-le-bretteur-au joli-cœur tenta de la séduire à l'hiver 1173, mais elle su garder sa Vertu et repousser les avances de ce coureur de jupon, dont il garde un souvenir amer. Anaïs trouva en Anne-la-berserker une camarade convenable bien qu'elle semble si mal assortie, tant leur apparence les distingue. Amie de circonstance d'Anne-la-berserker, c'est sous sa protection qu'elle se met si un danger les menace. Et inversement, quand il y a une action discrète à réaliser, c'est Anaïs ou Frénégonde qui s'y colle. Pour Frénégonde, elle aime sa désinvolture mais la réprimande quand elle vole de pauvres hères lors de la pérégrination au marché local. Frénégonde trouve toujours quelque chose qui traîne pour l'offrir à Anaïs en échange de son silence.
Lors de sa fuite avec Dame Eleonore, elle a toujours su trouver de la nourriture en cueillant des baies et des herbes comestibles. Elle accompagnait Luigi Vasco de Firenze, maître alchimiste et herboriste dans ses pérégrinations sur la colline du Voile aux énigmes, ce qui développa sa connaissance des plantes, mais aussi lui permit de se familiariser avec le concept mystique de l'illusion.
Elle n'aime pas trainer vers les cimetières et s'est déjà confessée de voir les morts. Elle en a peur, mais un Mage de la Nouvelle-Calebaïs lui a dit que cela n'était pas grave, et qu'avec le temps, ce qu'elle croit être une malédiction pour s'avérer être un don utile. C'est ainsi qu'elle pu converser avec 2 habitants du "puits" : Nasseri, Prince-marchand maure fantomatique et Uderzo Magus fantôme et Magister es Certamen pour ne se rendre compte que plus tard qu'il s'agissait d'esprits tant leur apparence lui semblait tangible. Par ailleurs toute la Turbula interagissait avec eux normalement. Mais à y repenser, c'est vrai qu'il demandait toujours à quelqu'un d'autre de leur transporter des objets, sans jamais le faire par eux-mêmes. Elle fut d'ailleurs parfois sollicitée à ce titre. Mais tous les fantômes ne sont pas amicaux, c'est ce que Gilles de Jerbiton, le protecteur de sa maîtresse lui asséna un jour sur le pallier d'un escalier menant aux catacombes.
Sa grande amie Frénégonde "doigts-de-fée" se montre souvent prodigue avec elle, c'est ainsi qu'elle lui offrit :
un pied ou une patte doit réussir un test de Vivacité 9+ ou tomber au sol et perdre le tour suivant à essayer de se relever avec un jet de Dextérité 9+, durée aube / crépuscule (origine: Luigi Vasco di Firenze)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.