Maître armurier de l'Alliance depuis son arrivée, Séverin de Montaillou est un des compagnons sur qui il faut compter ! Héritier du Sang de géant de ses ancêtres, il est particulièrement grand (+2) et fort (+7). Sa mère est morte en couche en le mettant au monde et son père est mort au combat au service du Comte de Foix. Il n'a pas de famille, du moins à ce qu'il en dit, quelques vagues cousins dans les terres frontalières du Conflens.
Arrivé à l'Alliance au printemps 1153 dans le cadre du traité de vassalité, il travaille à la forge avec son apprenti, Boaz, qui est aussi le garde du corps d'Orion de Verditius. Ils partagent ensemble, une solide stature et un goût pour le travail du métal. Outre la forge, c'est la gravure qui lui donne le plus de satisfaction. Séverin apprécie tout particulièrement son apprenti et ne manque pas une occasion de vanter ses mérites.
Il est créatif, méticuleux, emporté, rancunier, protecteur et sensible.
Il ne recherche pas la compagnie des femmes, et d'aucuns le trouve étrangement familier d'Albert, le valet de Gilles de Jerbiton, alors que tout semble pourtant les séparer. Aucune preuve n'a jamais appuyé ces ragots. En revanche, Séverin est toujours accompagné d'une marmotte de couleur sable, qu'il a nommé Quenotte. Si les membres de la Turbula n'apprécie guère sa conversation, les furetons et autres petites créatures de l'Alliance reçoivent de sa part une attention bienveillante et protectrice.
En combat, il porte un immense pavois et une hache à 2 mains qu'il manie d'une seule !
A l'automne 1167, Albert est retrouvé mort, ce qui plonge Séverin dans un mutisme quasi total. Ce n'est qu'à compter de 1168, qu'il retrouvera goût à parler. En effet, Lorant, fils d'Ermangarde-la-couturière et Luc-le-sculpteur, alors âgé de 7 ans, vient se joindre à Séverin et Boaz à l'armurerie, et se spécialisera dans l'art de la gravure.
hiver 1171 : 1 Décrépitude
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