Luc-le-sculpteur

Sculpteur demi-fae au sang de Sydhe (2+)

Gracile et de l'apparence d'un jouvenceau, il s'adonne avec rêverie au travail méticuleux de la pierre et du bois, pour leur donner forme et même vie pourrait-ton dire. Il semble toujours distrait ou préoccupé, comme si son esprit ne parvenait jamais à se poser. Il est d'ailleurs un poète émérite lorsqu'il accepte de s'adresser à ses congénères. Doté d'un tempérament calme, il préfère généralement travailler seul, mais s'il est contraint (et ce n'est pas peu dire) à travailler en équipe, il en prend naturellement la tête.

Questionné sur son origine, il répond généralement qu'il trouve son inspiration dans les songes que lui octroie la contemplation de la nature. Certains y voient la main de Dieu, pour d'autre celle du Démon.

Partageant la même ascendance, il s'entend particulièrement bien avec Sœur-Malores-la-muette depuis son arrivée à la Nouvelle Calebaïs.

Ermangarde-la-Germaine couturière lui déclare son amour publiquement en 1156, puis lui donnera plusieurs enfants :

-printemps 1157 : Ulric-le-bretteur-au joli-coeur

-été 1158 : Frénégonde-doigts-de-fée

-hiver 1159 : Robert-le-luthier

-été 1161 : Lorant-le-graveur

-hiver 1163 : Perrine-la-brodeuse

-printemps 1165 : Geoffroy-le-peintre

Depuis leur père se montre impliqué à éveiller leurs talents respectifs dont chacun d'eux, à sa manière, ne manque pas !

Il est souvent à œuvrer avec Benoît-l'architecte et Claude-le-tailleur-de-pierre.

Luc a réalisé la rénovation de la bibliothèque de la Nouvelle Calebaïs, notamment toutes les sculptures de chacune des étagères thématiques sous les ordres d'Orion de Verditius et d'Estrella de Bonisagus.

L'un de ses chefs d'oeuvre est le sanctum d'Inigo Juan Estebanez de Criamon : une sorte de temple romano-mauresque sculpté dans la roche au sein d'une cavité préalablement creusée par les furetons et Claude-le-tailleur-de-pierre sur les consignes de feu Picard d'Ex-Miscellanea.