Description:
Le point le plus au Sud est le Castel de Lordat dont la tour fauconnière d'Altaïr, tandis que l'extrémité Nord est Cazenave représentée par les scieries. Entre les deux se trouvent les hameaux de Axiat, Appy, Caichax, Senconac, les écuries d'Agréou et le moulin des Moulines et la Tour du Fourquet; ainsi que les 2 hameaux du Barry-d'en-haut. Le Castel de Lordat et les 2 hameaux du Barry-d'en-haut, qui constituent les 3 points d'entrée de l'Alliance, sont encerclés d'une palissade munie de chemin de ronde. La frontière Nord vers le couvent de Sainte-douceline est naturellement protégé par une arrête montagneuse et depuis récemment par la tour du Fourquet, ronde et faite de pierres issues des excavations des Furetons, permettant un point de vue panoramique des lieues à la ronde. On y aperçoit même Tarascon par jour de beau temps. Le tanneur et le boucher se sont installés à 1/2 lieue en aval au Sud, pour profiter d'un plus fort courant et pour ne pas incommoder les villageois en raison des très fortes et nauséabondes odeur de leurs ateliers. Les bûcherons-scieurs s'installent à mi-chemin, de part et d'autre du vallon. Sur une lieue de large et sur la lieue de longueur séparant le village de la tannerie-abattoir, la forêt est rasée, le bois utilisé pour la construction ou le chauffage, et les terres ainsi défrichées deviennent arables mais principalement utilisées à la pâture du troupeau. Le meunier s'est installé plus au Nord pour bénéficier d'une forte rivière afin de faire fonctionner son moulin, proche des écuries de 'Alliance et loin des odeurs de la tannerie qui pourraient marquer la farine.
L'ensemble des Hameaux constituant le village de Lacombe est soumis à une aura magique +1 / +2.
Personnalités:
Originaires de Lacombe, les natifs, porteurs de gènes de satyres et malformations afférentes :
Bûcherons (bois)
Bergers d'ovins (vélin, laine, viande et cuir)
Gardiennes d'oies (plumes à écrire et viande)
Cultivateur de vergers (fruits et eau de vie, noix et châtaignes)
Charpentier-charron (planches, poutres et charrettes)
Originaires d'autres contrées, les estranges :
Bergers de bovins (vélin viande et cuir)
Boucher (viande)
Tanneur (cuir)
Meunier (huile de noix et farine de châtaigne)
Entre ces deux groupes, une certaine méfiance est palpable. Les natifs considèrent les nouveaux venus comme des "estranges" (étrangers) embourgeoisés et sans mérite, car ils bénéficient d'une situation confortable sans avoir trimé pour l'obtenir. Les "estranges" considèrent les natifs comme des bouseux consanguins et difformes.
Les efforts conjugués de Gilles et Mélisandre font avancer la situation, au moyen de mariages entre les rejetons des 2 groupes.
Quelque soit leur groupe d'origine, tous respectent ou craignent les Magi, accueillent favorablement le développement du village et les soins annuels de Luigi di Firenze. Et pour cause, l'esprit de tous les dissidents potentiels est systématiquement manipulé pour le remettre dans le "droit chemin".
Evènements notables:
-Printemps 1151: (Sixième chapitre) La Troupe se
fait reconnaître comme les héritiers des anciens seigneurs, aux
vêtements et habitudes singulières. Renouant avec une tradition
séculaire, les Seigneurs des Deux Pics firent de Lacombe leur porte
d'entrée sur le monde vulgaire, y faisant construire une grande
écurie et achetant un troupeau d'ovins et de bœufs pour améliorer
l'ordinaire de Calebaïs.
-Printemps 1152: (Septième chapitre) Les villageois de Lacombe fuient
leurs terres les plus proches de la rivière, s'obligeant à de
longues marches pour rejoindre leurs champs. Intrigués, les Magi
débusquent et détruisent un élémentaire d'eau dans la rivière,
affirmant leur emprise sur Lacombe et obtenant la reconnaissance de
la population. Mélisandre en profite même pour célébrer au nom
des anciens esprits le premier mariage d'un couple acceptant de
s'installer dans une maison abandonnée non loin de la rivière,
amorçant la prospérité et le renouveau à venir.
-Printemps 1153: La population de Lacombe augmente, outre les naissance et la disparition de cause de mortalité autre que la vieillesse (sachant qu'ils ont tous plus ou moins du sang de satyre dans les veines, ils vivent vieux !) la recrudescence de nourriture et la tranquillité des lieux en fait un pôle d'attraction. Profitant de cet engouement, Estrella de Bonisagus, propose cette année que soit mis en place un élevage de bovins, mais pas n'importe lesquels : des charolais, car leur peau blanche et leur large stature en font des fournisseurs idéaux pour du vélin utérin de très bonne qualité. Ce faisant il conviendra de faire venir un tanneur compétent.
Les bruits circulant, Gilles de Jerbiton fait jouer ses relations :
trois nouvelles familles d'éleveurs bovins venu du Nord de l'Occitanie,
avec leur troupeau, un tanneur et sa famille venus de Doïsseteppe, un
boucher et sa famille venus de Tarascon, deux familles de
bûcherons-scieurs venus des forêts dominant Blancastel s'installent tous
dans cet étrange village y doublant la population et profitant de la
place libre au bord de la rivière. Le tanneur et le boucher s'installent
à 1 lieue en aval, pour profiter d'un plus fort courant et pour ne pas
incommoder les villageois en raison des très fortes et nauséabondes
odeur de leurs ateliers. Les bûcherons-scieurs s'installent à mi-chemin,
de part et d'autre du vallon. Sur une lieue de large et sur la lieue de
longueur séparant le village de la tannerie-abattoir, la forêt est
rasée, le bois utilisé pour la construction ou le chauffage, et les
terres ainsi défrichées deviennent arables mais principalement utilisées
à la pâture du troupeau.
-Automne et Hiver 1153: Avec l'essor de Lacombe, la convoitise naît dans le cœur de certains et des rumeurs de maraudeurs en approche se répandent. Lacombe ne dispose en effet que de maigres richesses hormis son cheptel (puisque c'est Calebaïs qui bénéficie des revenus ce que ne peuvent savoir d'éventuels pillards), mais également d'aucune fortification. Benoît se penche sur ce problème et envoie un rapport et des plans à Gilles pour qu'il consulte l'ingénieur, l'architecte et le stratège de son père, tous à Blancastel pour les travaux.
Gilles, Altaïr, la "Taupe" et Wulfgär, grâce a la complicité des habitants de Lacombe arrivent à intercepter un des maraudeurs. Après un interrogatoire magique, ils apprennent qu'ils travaillent pour le Comte de Bigorre (Tarbes, à l'Ouest, pas loin de Doïsseteppe) qui fait espionner la région par un ensemble de mercenaires plus ou moins organisés. Il sera décapité et jeté à la rivière, ceci passera pour des représailles des villageois. La tête sera quant-à elle brûlée. Ordre est donné aux villageois d'aller se plaindre et prévenir le sénéchal de Blancastel.
-Printemps 1154: Calebaïs devient le souverain temporel de Lacombe sur décision de Paul de Blancastel. Les impôts et taxes prélevées le seront désormais au nom des étranges nobles qui vivent dans la forêt. De grands travaux débutent pour élever une palissade et un beffroi de pierre pour assurer la sécurité du village principal.
-Automne 1154: Le village est désormais dominé par une tour ronde faite de pierres issues des excavations des Furetons, permettant un point de vue panoramique des lieues à la ronde. On y aperçoit même Tarascon par jour de beau temps. Cependant la tannerie-abattoir et les scieries demeurent en aval du village, sans protection spécifique. Leur position isolée faisant de ces maisons des proies idéales. Conformément aux plans confiés par Gilles, il conviendra donc de bâtir un poste de garde en un endroit encaissé de la vallée, plus en aval, où seuls passent la rivière et le chemin menant vers Tarascon.
-Hiver 1154: Une épidémie de grippe frappe Lacombe et Calebaïs, Orion et Estrella parviennent à endiguer le mal au prix de 10 pions Corporem. Étrangement, les Triplés ne sont pas touchés par cette maladie.
-Hiver 1155: suite à de nombreux évènements étranges provoqués par des esprits à travers tout le territoire de Lacombe, Mélisandre de Merinita conseille aux paysans de respecter les anciennes croyances et d'honorer les esprits de la forêt pour s'épargner leur colère et s'attirer leurs faveurs (offrandes au pied d'un vieux chêne, assiette de soupe laissée devant la porte de la masure pour nourrir les lutins, etc...). Très vite les vieilles histoires sur les elfes et les farfadets redeviennent réalité pour les habitants de Lacombe et de ses environs.
-Printemps 1157: A la suite
de l'incident entre le sculpteur Luc et le sergent d'armes au sujet
d'une femme, Spyridon hypnotise une charmante et accueillante ribaude
du village de Lacombe : Jeanne, pour qu'elle
tombe éperdument amoureuse du Sergent après s'être
assuré qu'elle soit libre de tout prétendant, le cas échéant il y
pourvoit. Il en profite pour se trouver une amante régulière sur
place pour son "usage" personnel.
-Été 1158 à l'hiver 1158: Une
sécheresse d'exception frappe la région, entraînant famines et
rumeurs de malédiction divine.
-Hiver 1163: Picard réalise des habitations troglodytes et de galeries souterraines aux hameaux de Lacombe, assisté des deux demi-gobelins et des furetons.
-Printemps 1164: Gilles revient à la fin du printemps avec 12 hommes d'armes, dont 5 archers, 5 servants boucliers et 2 gardes de pointe qui sont placés en faction aux 4 points d'entrée des terres de l'Alliance : le Castel de Lordat (fauconnerie d'Altaïr) au Sud-Est, les 2 hameaux du Barry-d'en-haut à l'Ouest vers Tarascon et au Sud-Ouest vers Blancastel, Pour mémoire, ils sont tous les 2 encerclés d'une palissade munie de chemin de ronde. La frontière Nord vers le couvent de Sainte-Douceline est naturellement protégé par une arrête montagneuse et depuis récemment par la tour du Fourquet, ronde et faite de pierres issues des excavations des Furetons, permettant un point de vue panoramique des lieues à la ronde. On y aperçoit même Tarascon par jour de beau temps. Les 12 soldats et leur famille sont placés directement aux ordres d'Altaïr, et entretenus par les villageois de Lacombe (ils n'entrent donc pas dans les frais de fonctionnement de l'Alliance). Ils résideront pour moitié à chacun des 2 Hameaux du Barry-d'en-haut.
-Été 1165: Picard creuse des terrasses en espaliers pour y planter noyers et châtaigniers. Le meunier s'est installé aux Moulines pour bénéficier d'une forte rivière afin de faire fonctionner son moulin, proche des écuries de 'Alliance et loin des odeurs de la tannerie qui pourraient marquer la farine.
-Printemps 1166: A la fin du Printemps, Luigi revient porteur d'une nouvelle : Une jouvencelle de Lacombe à l'aube de ses 12 printemps a des cornes qui semblent lui pousser sur la tête. Alerté sur son état Luigi s'est trouvé incapable d'y trouver remède. D'un père bûcheron et d'une mère tisserande de laine, elle se prénomme Capra, dite "la cornue".
-Été 1166: Pami les cheptels d'animaux de ferme peuplant les divers hameaux constituant le village de lacombe, il s'en trouvent certains qui sous l'effet de l'aura des lieux, s'imprègnent de magie : un jar, un bélier, une vache et une ânesse.
-Hiver 1163: Picard réalise des habitations troglodytes et de galeries souterraines aux hameaux de Lacombe, assisté des deux demi-gobelins et des furetons.
-Printemps 1164: Gilles revient à la fin du printemps avec 12 hommes d'armes, dont 5 archers, 5 servants boucliers et 2 gardes de pointe qui sont placés en faction aux 4 points d'entrée des terres de l'Alliance : le Castel de Lordat (fauconnerie d'Altaïr) au Sud-Est, les 2 hameaux du Barry-d'en-haut à l'Ouest vers Tarascon et au Sud-Ouest vers Blancastel, Pour mémoire, ils sont tous les 2 encerclés d'une palissade munie de chemin de ronde. La frontière Nord vers le couvent de Sainte-Douceline est naturellement protégé par une arrête montagneuse et depuis récemment par la tour du Fourquet, ronde et faite de pierres issues des excavations des Furetons, permettant un point de vue panoramique des lieues à la ronde. On y aperçoit même Tarascon par jour de beau temps. Les 12 soldats et leur famille sont placés directement aux ordres d'Altaïr, et entretenus par les villageois de Lacombe (ils n'entrent donc pas dans les frais de fonctionnement de l'Alliance). Ils résideront pour moitié à chacun des 2 Hameaux du Barry-d'en-haut.
-Été 1165: Picard creuse des terrasses en espaliers pour y planter noyers et châtaigniers. Le meunier s'est installé aux Moulines pour bénéficier d'une forte rivière afin de faire fonctionner son moulin, proche des écuries de 'Alliance et loin des odeurs de la tannerie qui pourraient marquer la farine.
-Printemps 1166: A la fin du Printemps, Luigi revient porteur d'une nouvelle : Une jouvencelle de Lacombe à l'aube de ses 12 printemps a des cornes qui semblent lui pousser sur la tête. Alerté sur son état Luigi s'est trouvé incapable d'y trouver remède. D'un père bûcheron et d'une mère tisserande de laine, elle se prénomme Capra, dite "la cornue".
-Été 1166: Pami les cheptels d'animaux de ferme peuplant les divers hameaux constituant le village de lacombe, il s'en trouvent certains qui sous l'effet de l'aura des lieux, s'imprègnent de magie : un jar, un bélier, une vache et une ânesse.
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