Tous ceux souhaitant se rendre auprès des Magi de Calebaïs pour commercer, s'entretenir avec leurs collègues dans les Arts ou visiter une Alliance mythique de l'Ordre, doivent se rendre au village de Lacombe, dernier arrêt en territoire vulgaire et sas entre le Comté de Foix et l'Alliance cachée. Ils y trouveront des équipements bien supérieurs à ceux habituellement présents dans un petit village montagnard, notamment un beffroi dominant la région et une écurie pour leurs chevaux fourbus. Ils devront continuer à pieds.
Le voyageur se rendant à Calebaïs doit en effet traverser une forêt en suivant une rivière qui s'enfonce sous le couvert jusqu'à une éminence surmontée de deux pics: la Colline des Deux Rocs. La forêt est fréquentée par de rares bûcherons assez courageux pour défier les édits des seigneurs de Calebaïs, de nombreux animaux et des Satyres qui habitent la forêt féérique toute proche.
Enfin le curieux arrivent en vue avant de l'éminence après avoir traversé trois lieues de terrain difficile. Un gigantesque jardin arboré semble couvrir la colline. Dès qu'il pénètre la végétation des créatures chimériques douées de parole viennent se présenter à lui, chacune prononçant une phrase puis faisant signe au voyageur de la suivre. Sur la pente sud de la colline se dresse une colonne de pierre de neuf pieds de haut. L'emblème de Calebaïs, une couronne brisée entourée de trois flammes et enfermée dans un cercle, y a été gravé, au-dessus d'une courte inscription en latin:
"Intrate in hanc silvam fascinatam non nisi vos scitis quos duces sequor, primum ultimusquae, et responsum aenigmae sui. Si optatis nos alloquor, manete in loco hoc. Unus de nobis perveniam mox. Si estis amici, salvete ad Calebais." [N'entrez dans cette forêt enchantée que si vous savez quels guides suivre, du premier au dernier, et connaissez la réponse à leur énigme. Si vous voulez nous parler, attendez ici. Un de nos dévoués serviteurs viendra vous chercher. A ceux qui se présentent en amis, bienvenue à Calebaïs!]
Le bois lui-même est extrêmement étrange. Ce n'est pas un enchevêtrement de broussailles et d'arbres, mais plutôt un ensemble de massifs de fleurs ou de plantes et de bouquet d'arbres, délimités par des chemins moussus de deux à vingt pieds de large formant un véritable labyrinthe. Quiconque à quelques talents en herboristerie ou en connaissances des plantes se rendra compte que beaucoup de ces plantes ne poussent pas habituellement dans cette région.
Mélisandre de Merinita et Luigi Vasco di Firenze sont responsables de l'entretien des jardins de la colline. Elle abrite en son sein plusieurs sources de Virtus (Imagonem, Corporem, Creo, Auram, ...).
A l'Automne 1163, Picard d'Ex-Miscellanea, accompagné des furetons et des deux semi-gobelins, creuse un réseau de galeries formant un labyrinthe dans les entrailles de la colline. De plus, il y perce trois nouveaux puits, afin de constituer des abris et de complexifier l'exploration de la colline par d'éventuels intrus :
- La fosse aux lions : fermée par de fortes grilles est dédié aux lions qui ont été ramenés par la troupe depuis les arides plateaux de Castille.
- Le jardin minéral de Gloïn : dont l'entrée se trouve dissimulée par un gros rocher recouvert de lierre, accueille les chauves-souris d'Orion de Verditius ainsi que les "bourgeons" ramenés par Gloïn sur les ordres de Picard d'Ex-Miscellanea depuis son originaire Val Negra. Ces bourgeons, des cristaux aux couleurs variées, s'y sont implantés et de développent comme une gangue, recouvrant peu à peu tout l'intérieur de la grotte, et constituant ce faisant, une source de Virtus Terram. Orion quand a lui espère reconstituer une source de Virtus Intellego grâce au guano de ses protégés, comme celui qu'il avait trouvé en explorant Calebaïs la première fois.
- Le terrier des furetons : désormais connu sous ce vocable, il désigne le dédale de galeries étroites et sinueuses comprenant le puits secondaire qu'ils occupaient déjà, et le nouveau réseau de cavernes creusé en 1163. Dans son entier il y est planté de ce fameux lichens aux propriétés magiques qui permet de nourrir les furetons. Ce faisant, leur population peut ainsi accroître, développant et complexifiant leur hiérarchie interne. Le but étant qu'ils puissent représenter une véritable force militaire de défense de la Nouvelle-Calebaïs. (pour plus de détails voir Les furetons)
Mélisandre de Merinita et Luigi Vasco di Firenze sont responsables de l'entretien des jardins de la colline. Elle abrite en son sein plusieurs sources de Virtus (Imagonem, Corporem, Creo, Auram, ...).
A l'Automne 1163, Picard d'Ex-Miscellanea, accompagné des furetons et des deux semi-gobelins, creuse un réseau de galeries formant un labyrinthe dans les entrailles de la colline. De plus, il y perce trois nouveaux puits, afin de constituer des abris et de complexifier l'exploration de la colline par d'éventuels intrus :
- La fosse aux lions : fermée par de fortes grilles est dédié aux lions qui ont été ramenés par la troupe depuis les arides plateaux de Castille.
- Le jardin minéral de Gloïn : dont l'entrée se trouve dissimulée par un gros rocher recouvert de lierre, accueille les chauves-souris d'Orion de Verditius ainsi que les "bourgeons" ramenés par Gloïn sur les ordres de Picard d'Ex-Miscellanea depuis son originaire Val Negra. Ces bourgeons, des cristaux aux couleurs variées, s'y sont implantés et de développent comme une gangue, recouvrant peu à peu tout l'intérieur de la grotte, et constituant ce faisant, une source de Virtus Terram. Orion quand a lui espère reconstituer une source de Virtus Intellego grâce au guano de ses protégés, comme celui qu'il avait trouvé en explorant Calebaïs la première fois.
- Le terrier des furetons : désormais connu sous ce vocable, il désigne le dédale de galeries étroites et sinueuses comprenant le puits secondaire qu'ils occupaient déjà, et le nouveau réseau de cavernes creusé en 1163. Dans son entier il y est planté de ce fameux lichens aux propriétés magiques qui permet de nourrir les furetons. Ce faisant, leur population peut ainsi accroître, développant et complexifiant leur hiérarchie interne. Le but étant qu'ils puissent représenter une véritable force militaire de défense de la Nouvelle-Calebaïs. (pour plus de détails voir Les furetons)
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