Les chroniques de la Nouvelle-Calebaïs
D'un voyage dans le Nord qui devient un expédition dans des mondes inconnus
[note au MJ : l'histoire commence avec une histoire de Luigi possédé mais je ne me souviens plus des détails. C'était dans un scénario, dans une saison?]. Ce long voyage initié par ma
maîtresse débuta grâce au retour de Luigi Vasco di Firenze. Ce dernier explique
revenir du monastère cathare de Tarascon où il se serait débarrassé du démon
qui l’habitait. Lorsqu’il est étudié sous toutes les coutures par Nathanaël de
Tytalus, la corruption démoniaque semble encore présente bien que diffuse. Il
décide donc de le garder à l’œil. Mélisandre de Merinita elle est très heureuse
de le revoir et organise immédiatement une fête pour essayer de détendre l’atmosphère
mais les récriminations pleuvent, notamment à l’encontre de Nathanaël, accusé
de ne pas être capable de protéger l’Alliance des démons. Toujours aussi
à-propos, Dame Mélisandre propose de déplacer l’Alliance dans un Regio féerique
pour être enfin débarrasser de cette menace.
Sur ces entrefaites Orion de
Verditus et Picard d’Ex Misceallena arrivent. Le premier parle d’un nouveau
moyen de détecter les anges et les démons. Il parle des pouvoirs d’une licorne
noire mais Dame Mélisandre ne veut pas en entendre parler car cet animal
magique est l’incarnation de l’esprit vengeur des femmes bafouées. Bien qu’il
me soit aujourd’hui impossible de comprendre les raisons de ce refus, des
rumeurs courent sur la dépravation selon les normes chrétiennes de ma
maîtresse. Il est possible qu’à cette époque de nombreuses épouses aient pu en
vouloir à Mélisandre de Merinita. Comme vous je trouve ça incroyable quand on
connaît sa gentillesse et sa douceur ; ne serait-ce que ne pas accomplir
le moindre de ses désirs me demanderait un effort surhumain alors lui reprocher
son comportement ! Quand au second, il veut lui capturer des anges pour
mener des expériences.
Préférant écourter les débats, Dame
Mélisandre organise une expédition qui selon elle sera courte et fructueuse
vers une Alliance sise dans les Monts Auvergne. Elle est accompagnée par Wulfgär,
son servant-bouclier, Bernart le loup-garou et le Magus Picard et son fidèle
compagnon Gloïn. Tous décident de voyager sur l’élémentaire végétal de la Maga,
et ainsi ne pas risquer trop de rencontres avec les Vulgaires. Pourtant à peine
partis ils croisent une procession de nonnes quittant le couvent de
Sainte-Douceline. Avant que nul ne puisse ouvrir la bouche pour s’enquérir de
leur présence le phasme magique s’éloigne à toute vitesse vers le nord. Après
Castres ils découvrent une forêt de chênes enchantés dont une poignée de fruits
sont capables de sustenter un homme pendant une journée ! [note au MJ :
peut-on les planter par chez nous ?].
Plus haut vers le nord alors que
le paysage change à nouveau la Troupe évite un marécage où ils prélèvent
néanmoins avec précaution de la sève d’un arbuste qui semble empêcher toute
cicatrisation. Pensant en faire cadeau à Luigi, Mélisandre le conserve précieusement
par devers elle. [note au MJ : peut-on les planter par chez nous ?].
C’est également à ce moment qu’elle décide d’enchanter le voyage en jetant un
puissant sortilège sur le phasme et les alentours. Ses illusions empêchent les
compagnons de se rendre compte qu’ils dépassent peu à peu leur objectif, et s’ils
se posent des questions sur la durée du voyage, ils n’ont jamais voyagé en ces
lieux ou expérimenter la vitesse de l’élémentaire. Ils se retrouvent obligés de
faire confiance en la Maga quant à leur destination…
C’est une nouvelle fois bien plus
au nord, dans une forêt de conifères très épaisse, que la situation se corse.
Malgré tous les talents de la maîtresse l’élémentaire semble incapable de
distinguer un chemin à travers bois et se met à tourner en rond. Ils décident d’interpeller
les habitants des lieux, sans doute féeriques pour se livrer à de tels jeux
enfantins. Des fumerolles qui hurlent se mettent à tourner autour des compagnons
tels des fantômes colériques. Grâce à ses multiples talents, Dame Mélisandre
distingue derrière l’illusion des farfadets aux ailes végétales et au corps
couvert de piquants. Après avoir protégé ses compagnons par un puissant
sortilège, elle fait apparaître une image de la Princesse de la Cour de l’Ombre
Doria afin de parlementer avec les fées. Avant qu’elle ne puisse ouvrir la
bouche des centaines de lances minuscules la transpercent de toute part. Mélisandre
de Merinita gonfle alors son aura et sa prestance, arrivant peu à peu à amadouer
les fées, surtout lorsqu’elle rajoute à ses arguments sans faille quelques dés
d’eau de vie féerique. Hélas les farfadets sont désormais incapables de les
conduire vers la sortie de la forêt, occupés à danser ou à bien pire pour les
plus atteints par le feu de Calebaïs. Haussant les épaules, les compagnons décident
de continuer vers le nord et c’est avec une pointe de soulagement qu’ils
quittent la forêt et s’installent à sa lisière pour manger.
Gloïn occupé à découper de larges
tranches de fromage et de pain sent soudain une présence et se jette sur Picard
d’Ex Misceallena pour le faire tomber de la bûche où il attend assis le repas. Fort
heureusement pour lui car une flèche fend l’air là où un instant auparavant se
trouvait sa tête. Mélisandre de Merinita dissimule immédiatement le groupe sous
un voile d’invisibilité tandis que Bernart prend sa forme de combat et se
précipite. Il évite une volée de flèches et les tireurs se divisent en trois
groupes pour mieux encercler la Troupe. A la demande de Picard ils redeviennent
visibles et les flèches se mettent à pleuvoir. Le Magus les renvoie à l’envoyeur
avant de céder à la puissance élémentaire qui l’habite. Il déchaîne ses
pouvoirs, détruisant les arbres, creusant des tranchées à travers la roche
tandis que des mains de terre s’élèvent du sol et broient les archers. Son
corps s’élève au-dessus du sol, parcouru par une énergie trépidante, sa peau
ressemblant peu à peu à de la terre marbrée de cristaux multicolores. Il tombe
enfin, épuisé.
Assommés, blessés, les survivants
sont rapidement couverts de chaînes magiques. L’interrogatoire ne donne rien.
Ce sont des fanatiques couverts de tatouages étranges de spirales, la langue
tranchée pour ne pas parler. En plongeant dans leur esprit Mélisandre de
Merinita apprend qu’ils vivent dans un village troglodyte à deux lieues de là.
Après une dispute avec Wulgär à qui elle rend la parole pour en utilisant sa
magie, ils décident d’exécuter les prisonniers, trouvant trop risqué de les
voir les poursuivre ou prévenir leurs maîtres de leur défaite. La Troupe voyage
une partie de la nuit pour s’éloigner du site du combat et au matin Picard
finit par se rendre compte que le terrain semble bien plat pour l’Auvergne. Ma
maîtresse finit par leur avouer qu’elle souhaite ramener Wulfgär dans le nord
parmi les siens afin qu’il y termine sa vie.
La Troupe arrive à Calais, port
fortifié sur la Manche. Les compagnons se dirigent immédiatement vers la capitainerie
pour trouver un navire. Bernart est envoyé pour négocier. Il parcourt les
tavernes à marins où bras de fer après bras de fer il se crée une solide
réputation. Il ne tarde pas à se créer également quelques inimitiés mais ma
maîtresse arrondit les angles avec sa magie. Ils finissent par trouver un
navire en partance pour le nord et son équipage de trente marins et vingt
soldats, et achète tout l’équipement nécessaire : fourrures, nourriture,
armes… Malheureusement au matin la cargaison a disparu de l’entrepôt où elle attendait
d’être chargée.
Les deux Magi décident d’enquêter
à l’entrepôt, le voyage étant impossible sans la cargaison et les autorités ne
semblant pas décidées à agir. Très vite ils comprennent que la magie a été
utilisée pour dissimuler les pistes des voleurs. Bernart se propose pour pister
les environs et découvre des baies de genièvre dans de la bouse de cheval.
Tandis qu’ils continuent d’enquêter dans les environs Mélisandre de Merinita
essaye de mettre la main sur un soigneur d’animaux. Le loup-garou se rend de
son côté au port pour essayer d’interroger des marins sur la criminalité de la
ville. Il intervient dans une bagarre où un riche bourgeois frappe au sol le
capitaine de notre navire. Il le jette dans l’eau sale non loin de la jetée et
l’empêche un long moment de remonter sur le quai en écoutant les récriminations
du capitaine.
Ma maîtresse arrive à découvrir l’échoppe
d’un herboriste par le bouche à oreille. Après avoir fait la fortune de l’homme
en lui achetant quantité d’onguents et de crèmes pour les chevaux elle obtient
sans mal des informations sur la famille Geriville, de riches marchands qui
utilisent les services du vieil homme pour s’occuper de leurs animaux de bâts.
Il confirme être le seul à utiliser du genièvre comme simple. Impressionné par
ses talents et ses connaissances, elle décide de le recruter mais il ne
souhaite pas abandonner sa famille. Elle accepte donc de recruter le vieux
Romaric, ses deux enfants et assistants, Clotilde et Thomas, pour 500 deniers.
Devant une telle fortune il comprend malgré les manières peu orthodoxes de la
demi-fae qu’il a affaire à de riches personnages et accepte de prendre la route
sous peu pour se présenter à Lacombe, où ils demanderont Gilles de Mirepoix
pour y remettre une lettre expliquant les détails de la transaction.
Picard d’Ex Misceallena lui n’a
pas quitté les abords de l’entrepôt où il tente laborieusement d’interroger les
pierres des murs environnants. Il finit par comprendre que quatre hommes et
deux femmes ainsi qu’une poignée de mules et de chevaux ont pénétré dans le sol
avant de ressortir par la porte de l’entrepôt. Il se met en quête d’un passage
secret qu’il finit non sans mal par découvrir dans une des colonnes. Elle est
creuse et même sans connaissance particulière il comprend qu’il a fait face à
une architecture de haut vol. L’escalier dissimulé permet de se rendre dans un
étage du bâtiment ou au contraire de descendre au sous-sol. Dans ce dernier il
découvre une salle immense, un second entrepôt entièrement dissimulé. Il est
plein de marchandises du sol au plafond. Il cherche une porte donnant sur l’extérieur,
comprenant à la taille des caisses que les voleurs ne peuvent utiliser l’escalier
dissimulé pour déplacer les marchandises. Il finit par ressortir sous un ponton
du quai et utilise sa magie pour mener jusqu’à lui une barque qu’il charge lourdement
avec ce qui lui semble le plus précieux, les épices.
De son côté Bernart finit par repêcher
le marchand qu’il n’hésite pas à repousser violemment à la baille quand il refuse
de répondre à ses questions. Un attroupement commence à se former autour des
deux hommes, d’où jaillit soudain une petite fille aux boucles blondes qui lui
crie de cesser de faire mal à son père. Le marchand profite de son inattention pour
s’élancer sur le ponton et se jeter à l’eau suffisamment loin pour échapper au
colosse, nageant sans se retourner vers un navire amarré dans le port. La
petite fille essaye de le rejoindre mais Bernart l’en empêche, entraînant
pleurs et récriminations interminables qui attirent une dizaine de gardes du
guet. Ils l’emmènent à la capitainerie sans qu’il n’élève de résistance,
comptant sur l’intervention de ses compagnons pour le sortir d’affaire sans
violence. Bien lui en prit car un marin s’empresse de prévenir Mélisandre de
Merinita qui utilise sa magie pour guider les esprits des soldats dans la bonne
direction. Elle en profite pour acquérir quelques informations sur la manière dont
la ville est dirigée. Elle apprend que trois grandes familles marchandes sont à
sa tête. Les Geriville sont des transporteurs et gère le transbordement des
navires entrant ou sortant du port. Les Wienberg eux sont plutôt des
propriétaires immobiliers et l’entrepôt où se trouvait nos marchandises leur
appartient. Une dernière famille, les Van Dervil, complète cette riche trinité.
Pendant ce temps Picard d’Ex Misceallena décide d’explorer
l’étage du bâtiment qui abrite les voleurs de l’entrepôt. Il
utilise à nouveau le passage secret et se rend aux cuisines où
ignorant ostensiblement il se sert dans les victuailles préparées
pour le repas du soir. Il demande à voir le maître des lieux et
deux serviteurs s’éclipsent rapidement. Personne ne se montrant,
il décide au bout d’une longue heure à observer d’un air
menaçant les rares personnes qui osent pénétrer dans la pièce.
Sur le port il est rejoint par Mélisandre et Bernart à la tête
d’une vingtaine de marins et du capitaine de leur navire à qui ils
ordonnent de vider l’entrepôt de toutes les marchandises qu’ils
y trouveront pour se payer sur la bête. Un percepteur de la
capitainerie vient mettre son grain de sel et essayer de toucher une
commission. Dame Mélisandre le convainc qu’ils partent dans le
nord pour arrêter les attaques de pillards sur Calais à la demande des trois familles dirigeants la
ville.
Picard
d’Ex Misceallena s’énerve peu à peu de ne créer aucune
réaction et s’empare d’une barque devant la maison bourgeoise
pour rejoindre le navire des Wienberg. Des archers l’accueille
d’une volée de flèches. Goguenard, il menace le marchand en lui
expliquant que sa troupe vide actuellement l’entrepôt secret. Le
Magus déclenche une voie d’eau sur le bâtiment et accentue ses
menaces avant de faire demi-tour. Les archers en profitent pour lui
décocher de nouveaux carreaux et blessé, il plonge dans l’eau,
utilisant sa magie pour se guérir temporairement. Le bateau se met à
couler tandis qu’une brume impénétrable se lève. Les cris des
marins retentissent accusant des sirènes, des démons et de nombreux
monstres du folklore maritime d’être responsables. Ils fuient et
Wienberg se retrouve enchâsser par de la glace dans la cale. Picard
d’Ex Misceallena, épuisé et blessé, attend d’être récupéré
par le reste de la Troupe, une main possessive sur le sarcophage
magique.
Pendant
ce temps Mélisandre de Merinita perd patience en assistant au
chargement de son navire, et sans se soucier de la somme, remet sa
bourse au capitaine pour qu’il gère l’ensemble des procédures
jusqu’au départ. Le sourire jusqu’aux oreilles, ce dernier jure
qu’elle peut lui faire confiance et elle se met en quête de son
compagnon Magus. Une fois tous à l’abri sur leur navire, le Fierté
des Mers, ils libèrent le marchand. Johan Wienberg se décrit comme
l’homme le plus riche de la cité, et entame moult récriminations
quant à sa responsabilité dans le vol des marchandises. Selon lui
les deux autres familles se sont associées pour lui faire porter le
chapeau. Entre les deux compagnons qui s’en donnent à cœur joie,
parlant de raid des hommes du nord sur la ville, de le réduire en
esclavage et d’autre destin peu recommandable il finit par
s’évanouir. Ils le laissent enfermé dans la cabine et partent
explorer leur nouvelle demeure.
Le
voyage est calme les premiers jours. Le manque de vent oblige Picard
d’Ex Misceallena à utiliser sa magie élémentaire tandis que Dame
Mélisandre se met en tête d’apprendre à chasser les immenses
créatures qui vivent sous les flots gris de cette étrange mer.
Selon ses récits, les cochons de mer sont d’une taille
extraordinaire et leur chair est si fine qu’elle peut être mangée
crue. Quelque temps plus tard, s’ennuyant, elle décide de
réaménager la vigie, la rendant confortable et surtout l’abritant
des éléments. Les marins responsables du grand mât, bien que
jetant le signe du diable lorsqu’elle ne regarde pas, commencent à
l’apprécier grandement quand elle associe ses talents pour rendre
la vie à bord plus agréable avec de nombreuses et semble-t-il
infinies bouteilles d’alcool.
Ils
finissent par souhaiter passer une nouvelle fois le marchand à la
question mais ne le trouve nul part. Inquiets, ils mènent
discrètement l’enquête et le capitaine avoue sans peine l’avoir
placé dans un canot à quelques longueurs de la poupe car il donnait
des ordres à tort et à travers. Les deux Magi décide de négocier
avec le Wienberg afin qu’il les aide à vendre les marchandises
pillées dans son entrepôt. Il pleure en expliquant que sa famille
va souffrir et risque la mort à cause de leurs actes. Picard d’Ex
Misceallena réalise un tour devant ses yeux et il rajoute dans les
larmes en disant qu’ils sont maudits. Ma maîtresse lui explique
qu’ils marchent entre les anges et des démons. Il murmure
« nephilim » et elle décide de fouiller son esprit pour
en apprendre plus. Elle découvre une silhouette fine, sombre, le
visage dissimulé par une capuche, qu’il craint et respecte. Dame
Mélisandre comprend qu’il lui rend service volontairement mais
qu’elle lui fera vivre les pires tourments s’il la trahit. Son
nom est Sapi. Elle est neutre dans la lutte entre les trois familles.
Il l’a déjà vu faire de la magie. Les deux Magi se demandent si
elle pourrait être un vampire ou une créature surnaturelle encore
inconnue. Mélisandre de Merinita subit alors une épiphanie. En
associant ses connaissances de la féerie et les informations volées
dans l’esprit du marchand sur les "nephilim", elle croit deviner que
le Dieu chrétien est une fée qui a utilisé l’humanité pour
chasser les autres fae en Arcadie.
Après
plusieurs jours de brume permanente et d’un voyage sans problème,
l’équipage entend enfin des cris d’oiseaux. Lors de
l’organisation d’une partie de cache-cache avec les marins, elle
trouve une cache de contrebandier et enfermé à l’intérieur,
Nathanaël de Tytalus. Elle boude et referme la cache par magie en
s’écriant, se sont les mots qui me furent confiés par son ancien
amant : « oh non, pas toi ! C’est mon expédition,
il faut que tu gâches toujours tout ! ». Il finit par
sortir ses propres moyens et l’équipage se met à paniquer. Le
capitaine demande des explications et elle lui affirme qu’il s’agit
d’un espion anglais et qu’il faut le jeter à la mer. Picard
d’Ex Misceallena apparaît sur le pont et les marins s’arment un
à un, se rangeant derrière la Maga. Elle hurle de le jeter par
dessus bord, et Nathanaël de Tytalus, abasourdi, s’empare de son
espadon. Ma Maîtresse s’éloigne aussi loin que faire se peut de
l’arme bénie et les deux thaumaturges en profitent pour engager le
conversation sous le regard mauvais de l’équipage.
Mélisandre
de Merinita rejoint la conversation et fait apparaître une fausse
carte où Clermont se situe en Scandinavie. Elle demande à parler en
privé à Nathanaël de Tytalus, ils montent dans la vigie où elle
endort le marin de garde, et lui demande de rentrer à l’alliance
sans se soucier des moyens qu’il a employé pour arriver. La brume
se dissipe peu à peu et les mouettes sont de plus en plus nombreuses
à tourner autour du navire. Le capitaine affale les voiles quand il
comprend que la vigie s’est endormie et qu’il risque d’échouer
le bâtiment. Quelques rames se brisent avant que Dame Mélisandre ne
propose de guider le vaisseau. Elle crée une flèche enflammée qui
donne la direction tandis que le Magus fait disparaître les
dernières traces de brume. Des pointes de bois jaillissent de l’eau,
sans doute des mats de navires échoués.
J'ai commencé à taper aussi ce scénario. Il y des morceaux (en gras avec écrit note au MJ) qui demande des observations de sa grandeur ineffable.
RépondreSupprimerNote à moi-même: impacter la dépense de Virtus pour avoir rendu sa langue à Wulfgär.
RépondreSupprimerNote à moi-même: 10 doses d'onguent pour soigner les animaux, 3 doses pour les maladies animales, 6 pour booster les animaux quand ils sont fatigués (origine: soigneur de Calais)
RépondreSupprimerNote au MJ (si tu veux je le fais et tu créeras ensuite les détails): arrivée en 1172 de la famille du soigneur de Calais. Romaric, sa fille Clotilde et son fils Thomas pour 500 deniers.
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