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dimanche 24 novembre 2019

Trente-septième chapitre: D'un voyage dans le Nord qui devient un expédition dans des mondes inconnus

Les chroniques de la Nouvelle-Calebaïs

D'un voyage dans le Nord qui devient un expédition dans des mondes inconnus


[note au MJ : l'histoire commence avec une histoire de Luigi possédé mais je ne me souviens plus des détails. C'était dans un scénario, dans une saison?]. Ce long voyage initié par ma maîtresse débuta grâce au retour de Luigi Vasco di Firenze. Ce dernier explique revenir du monastère cathare de Tarascon où il se serait débarrassé du démon qui l’habitait. Lorsqu’il est étudié sous toutes les coutures par Nathanaël de Tytalus, la corruption démoniaque semble encore présente bien que diffuse. Il décide donc de le garder à l’œil. Mélisandre de Merinita elle est très heureuse de le revoir et organise immédiatement une fête pour essayer de détendre l’atmosphère mais les récriminations pleuvent, notamment à l’encontre de Nathanaël, accusé de ne pas être capable de protéger l’Alliance des démons. Toujours aussi à-propos, Dame Mélisandre propose de déplacer l’Alliance dans un Regio féerique pour être enfin débarrasser de cette menace.

Sur ces entrefaites Orion de Verditus et Picard d’Ex Misceallena arrivent. Le premier parle d’un nouveau moyen de détecter les anges et les démons. Il parle des pouvoirs d’une licorne noire mais Dame Mélisandre ne veut pas en entendre parler car cet animal magique est l’incarnation de l’esprit vengeur des femmes bafouées. Bien qu’il me soit aujourd’hui impossible de comprendre les raisons de ce refus, des rumeurs courent sur la dépravation selon les normes chrétiennes de ma maîtresse. Il est possible qu’à cette époque de nombreuses épouses aient pu en vouloir à Mélisandre de Merinita. Comme vous je trouve ça incroyable quand on connaît sa gentillesse et sa douceur ; ne serait-ce que ne pas accomplir le moindre de ses désirs me demanderait un effort surhumain alors lui reprocher son comportement ! Quand au second, il veut lui capturer des anges pour mener des expériences.

Préférant écourter les débats, Dame Mélisandre organise une expédition qui selon elle sera courte et fructueuse vers une Alliance sise dans les Monts Auvergne. Elle est accompagnée par Wulfgär, son servant-bouclier, Bernart le loup-garou et le Magus Picard et son fidèle compagnon Gloïn. Tous décident de voyager sur l’élémentaire végétal de la Maga, et ainsi ne pas risquer trop de rencontres avec les Vulgaires. Pourtant à peine partis ils croisent une procession de nonnes quittant le couvent de Sainte-Douceline. Avant que nul ne puisse ouvrir la bouche pour s’enquérir de leur présence le phasme magique s’éloigne à toute vitesse vers le nord. Après Castres ils découvrent une forêt de chênes enchantés dont une poignée de fruits sont capables de sustenter un homme pendant une journée ! [note au MJ : peut-on les planter par chez nous ?].

Plus haut vers le nord alors que le paysage change à nouveau la Troupe évite un marécage où ils prélèvent néanmoins avec précaution de la sève d’un arbuste qui semble empêcher toute cicatrisation. Pensant en faire cadeau à Luigi, Mélisandre le conserve précieusement par devers elle. [note au MJ : peut-on les planter par chez nous ?]. C’est également à ce moment qu’elle décide d’enchanter le voyage en jetant un puissant sortilège sur le phasme et les alentours. Ses illusions empêchent les compagnons de se rendre compte qu’ils dépassent peu à peu leur objectif, et s’ils se posent des questions sur la durée du voyage, ils n’ont jamais voyagé en ces lieux ou expérimenter la vitesse de l’élémentaire. Ils se retrouvent obligés de faire confiance en la Maga quant à leur destination…

C’est une nouvelle fois bien plus au nord, dans une forêt de conifères très épaisse, que la situation se corse. Malgré tous les talents de la maîtresse l’élémentaire semble incapable de distinguer un chemin à travers bois et se met à tourner en rond. Ils décident d’interpeller les habitants des lieux, sans doute féeriques pour se livrer à de tels jeux enfantins. Des fumerolles qui hurlent se mettent à tourner autour des compagnons tels des fantômes colériques. Grâce à ses multiples talents, Dame Mélisandre distingue derrière l’illusion des farfadets aux ailes végétales et au corps couvert de piquants. Après avoir protégé ses compagnons par un puissant sortilège, elle fait apparaître une image de la Princesse de la Cour de l’Ombre Doria afin de parlementer avec les fées. Avant qu’elle ne puisse ouvrir la bouche des centaines de lances minuscules la transpercent de toute part. Mélisandre de Merinita gonfle alors son aura et sa prestance, arrivant peu à peu à amadouer les fées, surtout lorsqu’elle rajoute à ses arguments sans faille quelques dés d’eau de vie féerique. Hélas les farfadets sont désormais incapables de les conduire vers la sortie de la forêt, occupés à danser ou à bien pire pour les plus atteints par le feu de Calebaïs. Haussant les épaules, les compagnons décident de continuer vers le nord et c’est avec une pointe de soulagement qu’ils quittent la forêt et s’installent à sa lisière pour manger.

Gloïn occupé à découper de larges tranches de fromage et de pain sent soudain une présence et se jette sur Picard d’Ex Misceallena pour le faire tomber de la bûche où il attend assis le repas. Fort heureusement pour lui car une flèche fend l’air là où un instant auparavant se trouvait sa tête. Mélisandre de Merinita dissimule immédiatement le groupe sous un voile d’invisibilité tandis que Bernart prend sa forme de combat et se précipite. Il évite une volée de flèches et les tireurs se divisent en trois groupes pour mieux encercler la Troupe. A la demande de Picard ils redeviennent visibles et les flèches se mettent à pleuvoir. Le Magus les renvoie à l’envoyeur avant de céder à la puissance élémentaire qui l’habite. Il déchaîne ses pouvoirs, détruisant les arbres, creusant des tranchées à travers la roche tandis que des mains de terre s’élèvent du sol et broient les archers. Son corps s’élève au-dessus du sol, parcouru par une énergie trépidante, sa peau ressemblant peu à peu à de la terre marbrée de cristaux multicolores. Il tombe enfin, épuisé.


Assommés, blessés, les survivants sont rapidement couverts de chaînes magiques. L’interrogatoire ne donne rien. Ce sont des fanatiques couverts de tatouages étranges de spirales, la langue tranchée pour ne pas parler. En plongeant dans leur esprit Mélisandre de Merinita apprend qu’ils vivent dans un village troglodyte à deux lieues de là. Après une dispute avec Wulgär à qui elle rend la parole pour en utilisant sa magie, ils décident d’exécuter les prisonniers, trouvant trop risqué de les voir les poursuivre ou prévenir leurs maîtres de leur défaite. La Troupe voyage une partie de la nuit pour s’éloigner du site du combat et au matin Picard finit par se rendre compte que le terrain semble bien plat pour l’Auvergne. Ma maîtresse finit par leur avouer qu’elle souhaite ramener Wulfgär dans le nord parmi les siens afin qu’il y termine sa vie.

La Troupe arrive à Calais, port fortifié sur la Manche. Les compagnons se dirigent immédiatement vers la capitainerie pour trouver un navire. Bernart est envoyé pour négocier. Il parcourt les tavernes à marins où bras de fer après bras de fer il se crée une solide réputation. Il ne tarde pas à se créer également quelques inimitiés mais ma maîtresse arrondit les angles avec sa magie. Ils finissent par trouver un navire en partance pour le nord et son équipage de trente marins et vingt soldats, et achète tout l’équipement nécessaire : fourrures, nourriture, armes… Malheureusement au matin la cargaison a disparu de l’entrepôt où elle attendait d’être chargée. 


Les deux Magi décident d’enquêter à l’entrepôt, le voyage étant impossible sans la cargaison et les autorités ne semblant pas décidées à agir. Très vite ils comprennent que la magie a été utilisée pour dissimuler les pistes des voleurs. Bernart se propose pour pister les environs et découvre des baies de genièvre dans de la bouse de cheval. Tandis qu’ils continuent d’enquêter dans les environs Mélisandre de Merinita essaye de mettre la main sur un soigneur d’animaux. Le loup-garou se rend de son côté au port pour essayer d’interroger des marins sur la criminalité de la ville. Il intervient dans une bagarre où un riche bourgeois frappe au sol le capitaine de notre navire. Il le jette dans l’eau sale non loin de la jetée et l’empêche un long moment de remonter sur le quai en écoutant les récriminations du capitaine.

Ma maîtresse arrive à découvrir l’échoppe d’un herboriste par le bouche à oreille. Après avoir fait la fortune de l’homme en lui achetant quantité d’onguents et de crèmes pour les chevaux elle obtient sans mal des informations sur la famille Geriville, de riches marchands qui utilisent les services du vieil homme pour s’occuper de leurs animaux de bâts. Il confirme être le seul à utiliser du genièvre comme simple. Impressionné par ses talents et ses connaissances, elle décide de le recruter mais il ne souhaite pas abandonner sa famille. Elle accepte donc de recruter le vieux Romaric, ses deux enfants et assistants, Clotilde et Thomas, pour 500 deniers. Devant une telle fortune il comprend malgré les manières peu orthodoxes de la demi-fae qu’il a affaire à de riches personnages et accepte de prendre la route sous peu pour se présenter à Lacombe, où ils demanderont Gilles de Mirepoix pour y remettre une lettre expliquant les détails de la transaction.

Picard d’Ex Misceallena lui n’a pas quitté les abords de l’entrepôt où il tente laborieusement d’interroger les pierres des murs environnants. Il finit par comprendre que quatre hommes et deux femmes ainsi qu’une poignée de mules et de chevaux ont pénétré dans le sol avant de ressortir par la porte de l’entrepôt. Il se met en quête d’un passage secret qu’il finit non sans mal par découvrir dans une des colonnes. Elle est creuse et même sans connaissance particulière il comprend qu’il a fait face à une architecture de haut vol. L’escalier dissimulé permet de se rendre dans un étage du bâtiment ou au contraire de descendre au sous-sol. Dans ce dernier il découvre une salle immense, un second entrepôt entièrement dissimulé. Il est plein de marchandises du sol au plafond. Il cherche une porte donnant sur l’extérieur, comprenant à la taille des caisses que les voleurs ne peuvent utiliser l’escalier dissimulé pour déplacer les marchandises. Il finit par ressortir sous un ponton du quai et utilise sa magie pour mener jusqu’à lui une barque qu’il charge lourdement avec ce qui lui semble le plus précieux, les épices.

De son côté Bernart finit par repêcher le marchand qu’il n’hésite pas à repousser violemment à la baille quand il refuse de répondre à ses questions. Un attroupement commence à se former autour des deux hommes, d’où jaillit soudain une petite fille aux boucles blondes qui lui crie de cesser de faire mal à son père. Le marchand profite de son inattention pour s’élancer sur le ponton et se jeter à l’eau suffisamment loin pour échapper au colosse, nageant sans se retourner vers un navire amarré dans le port. La petite fille essaye de le rejoindre mais Bernart l’en empêche, entraînant pleurs et récriminations interminables qui attirent une dizaine de gardes du guet. Ils l’emmènent à la capitainerie sans qu’il n’élève de résistance, comptant sur l’intervention de ses compagnons pour le sortir d’affaire sans violence. Bien lui en prit car un marin s’empresse de prévenir Mélisandre de Merinita qui utilise sa magie pour guider les esprits des soldats dans la bonne direction. Elle en profite pour acquérir quelques informations sur la manière dont la ville est dirigée. Elle apprend que trois grandes familles marchandes sont à sa tête. Les Geriville sont des transporteurs et gère le transbordement des navires entrant ou sortant du port. Les Wienberg eux sont plutôt des propriétaires immobiliers et l’entrepôt où se trouvait nos marchandises leur appartient. Une dernière famille, les Van Dervil, complète cette riche trinité.


Pendant ce temps Picard d’Ex Misceallena décide d’explorer l’étage du bâtiment qui abrite les voleurs de l’entrepôt. Il utilise à nouveau le passage secret et se rend aux cuisines où ignorant ostensiblement il se sert dans les victuailles préparées pour le repas du soir. Il demande à voir le maître des lieux et deux serviteurs s’éclipsent rapidement. Personne ne se montrant, il décide au bout d’une longue heure à observer d’un air menaçant les rares personnes qui osent pénétrer dans la pièce. Sur le port il est rejoint par Mélisandre et Bernart à la tête d’une vingtaine de marins et du capitaine de leur navire à qui ils ordonnent de vider l’entrepôt de toutes les marchandises qu’ils y trouveront pour se payer sur la bête. Un percepteur de la capitainerie vient mettre son grain de sel et essayer de toucher une commission. Dame Mélisandre le convainc qu’ils partent dans le nord pour arrêter les attaques de pillards sur Calais à la demande des trois familles dirigeants la ville.
Picard d’Ex Misceallena s’énerve peu à peu de ne créer aucune réaction et s’empare d’une barque devant la maison bourgeoise pour rejoindre le navire des Wienberg. Des archers l’accueille d’une volée de flèches. Goguenard, il menace le marchand en lui expliquant que sa troupe vide actuellement l’entrepôt secret. Le Magus déclenche une voie d’eau sur le bâtiment et accentue ses menaces avant de faire demi-tour. Les archers en profitent pour lui décocher de nouveaux carreaux et blessé, il plonge dans l’eau, utilisant sa magie pour se guérir temporairement. Le bateau se met à couler tandis qu’une brume impénétrable se lève. Les cris des marins retentissent accusant des sirènes, des démons et de nombreux monstres du folklore maritime d’être responsables. Ils fuient et Wienberg se retrouve enchâsser par de la glace dans la cale. Picard d’Ex Misceallena, épuisé et blessé, attend d’être récupéré par le reste de la Troupe, une main possessive sur le sarcophage magique.
Pendant ce temps Mélisandre de Merinita perd patience en assistant au chargement de son navire, et sans se soucier de la somme, remet sa bourse au capitaine pour qu’il gère l’ensemble des procédures jusqu’au départ. Le sourire jusqu’aux oreilles, ce dernier jure qu’elle peut lui faire confiance et elle se met en quête de son compagnon Magus. Une fois tous à l’abri sur leur navire, le Fierté des Mers, ils libèrent le marchand. Johan Wienberg se décrit comme l’homme le plus riche de la cité, et entame moult récriminations quant à sa responsabilité dans le vol des marchandises. Selon lui les deux autres familles se sont associées pour lui faire porter le chapeau. Entre les deux compagnons qui s’en donnent à cœur joie, parlant de raid des hommes du nord sur la ville, de le réduire en esclavage et d’autre destin peu recommandable il finit par s’évanouir. Ils le laissent enfermé dans la cabine et partent explorer leur nouvelle demeure.
Le voyage est calme les premiers jours. Le manque de vent oblige Picard d’Ex Misceallena à utiliser sa magie élémentaire tandis que Dame Mélisandre se met en tête d’apprendre à chasser les immenses créatures qui vivent sous les flots gris de cette étrange mer. Selon ses récits, les cochons de mer sont d’une taille extraordinaire et leur chair est si fine qu’elle peut être mangée crue. Quelque temps plus tard, s’ennuyant, elle décide de réaménager la vigie, la rendant confortable et surtout l’abritant des éléments. Les marins responsables du grand mât, bien que jetant le signe du diable lorsqu’elle ne regarde pas, commencent à l’apprécier grandement quand elle associe ses talents pour rendre la vie à bord plus agréable avec de nombreuses et semble-t-il infinies bouteilles d’alcool.
Ils finissent par souhaiter passer une nouvelle fois le marchand à la question mais ne le trouve nul part. Inquiets, ils mènent discrètement l’enquête et le capitaine avoue sans peine l’avoir placé dans un canot à quelques longueurs de la poupe car il donnait des ordres à tort et à travers. Les deux Magi décide de négocier avec le Wienberg afin qu’il les aide à vendre les marchandises pillées dans son entrepôt. Il pleure en expliquant que sa famille va souffrir et risque la mort à cause de leurs actes. Picard d’Ex Misceallena réalise un tour devant ses yeux et il rajoute dans les larmes en disant qu’ils sont maudits. Ma maîtresse lui explique qu’ils marchent entre les anges et des démons. Il murmure « nephilim » et elle décide de fouiller son esprit pour en apprendre plus. Elle découvre une silhouette fine, sombre, le visage dissimulé par une capuche, qu’il craint et respecte. Dame Mélisandre comprend qu’il lui rend service volontairement mais qu’elle lui fera vivre les pires tourments s’il la trahit. Son nom est Sapi. Elle est neutre dans la lutte entre les trois familles. Il l’a déjà vu faire de la magie. Les deux Magi se demandent si elle pourrait être un vampire ou une créature surnaturelle encore inconnue. Mélisandre de Merinita subit alors une épiphanie. En associant ses connaissances de la féerie et les informations volées dans l’esprit du marchand sur les "nephilim", elle croit deviner que le Dieu chrétien est une fée qui a utilisé l’humanité pour chasser les autres fae en Arcadie.


Après plusieurs jours de brume permanente et d’un voyage sans problème, l’équipage entend enfin des cris d’oiseaux. Lors de l’organisation d’une partie de cache-cache avec les marins, elle trouve une cache de contrebandier et enfermé à l’intérieur, Nathanaël de Tytalus. Elle boude et referme la cache par magie en s’écriant, se sont les mots qui me furent confiés par son ancien amant : « oh non, pas toi ! C’est mon expédition, il faut que tu gâches toujours tout ! ». Il finit par sortir ses propres moyens et l’équipage se met à paniquer. Le capitaine demande des explications et elle lui affirme qu’il s’agit d’un espion anglais et qu’il faut le jeter à la mer. Picard d’Ex Misceallena apparaît sur le pont et les marins s’arment un à un, se rangeant derrière la Maga. Elle hurle de le jeter par dessus bord, et Nathanaël de Tytalus, abasourdi, s’empare de son espadon. Ma Maîtresse s’éloigne aussi loin que faire se peut de l’arme bénie et les deux thaumaturges en profitent pour engager le conversation sous le regard mauvais de l’équipage.
Mélisandre de Merinita rejoint la conversation et fait apparaître une fausse carte où Clermont se situe en Scandinavie. Elle demande à parler en privé à Nathanaël de Tytalus, ils montent dans la vigie où elle endort le marin de garde, et lui demande de rentrer à l’alliance sans se soucier des moyens qu’il a employé pour arriver. La brume se dissipe peu à peu et les mouettes sont de plus en plus nombreuses à tourner autour du navire. Le capitaine affale les voiles quand il comprend que la vigie s’est endormie et qu’il risque d’échouer le bâtiment. Quelques rames se brisent avant que Dame Mélisandre ne propose de guider le vaisseau. Elle crée une flèche enflammée qui donne la direction tandis que le Magus fait disparaître les dernières traces de brume. Des pointes de bois jaillissent de l’eau, sans doute des mats de navires échoués.

4 commentaires:

  1. J'ai commencé à taper aussi ce scénario. Il y des morceaux (en gras avec écrit note au MJ) qui demande des observations de sa grandeur ineffable.

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  2. Note à moi-même: impacter la dépense de Virtus pour avoir rendu sa langue à Wulfgär.

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  3. Note à moi-même: 10 doses d'onguent pour soigner les animaux, 3 doses pour les maladies animales, 6 pour booster les animaux quand ils sont fatigués (origine: soigneur de Calais)

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  4. Note au MJ (si tu veux je le fais et tu créeras ensuite les détails): arrivée en 1172 de la famille du soigneur de Calais. Romaric, sa fille Clotilde et son fils Thomas pour 500 deniers.

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