Les Chroniques de la Nouvelle Calebaïs
D’Évènements inexpliqués à l'Affrontement final
(Note : je crois qu’il manque quelques passages dans cette partie, et notamment l’apparition du double de Nathanaël de Tytalus)
Suite aux derniers évènements les Mages prirent le temps d’une longue discussion avec Igack le Draco. Ils y apprirent notamment le nom des douze Mages et Archimages qui peuplaient Calebaïs avant l’embrasement. Pour la légende et car ils eurent et auront peut-être encore une importance, ils sont reportés ici.
*Ornath de Jerbiton, le seul survivant de l’Alliance, Maître de (l'Esprit?) dont le familier est un jeune homme le sosie de Paul Guevarre. Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Krenval de Tytalus, Maître de la Domination et amoureux des arts, dont le familier était un renard argenté (mort). Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Dargaud de Verditius, Expert en toutes choses dont le familier était un écureuil aux mains humaines. Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Eono de Criamon, Maître de l’Esprit dont le familier était un fantôme. Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Uderzo de Tremere, Maître de la Perception et de la Création dont le familier était un chat. Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Malevolus Videri de Quaesitor, Maîtresse de la Destruction dont le familier était un serpent (toujours en vie). Son Laboratoire se trouve au niveau 7 et a été exploré par les Mages. Ils y ont notamment découvert son familier, le serpent Sespsus.
*Erectheus de Mercere, Maître du Changement dont le familier était un coq. Son Laboratoire se trouve au niveau 7 et a été exploré par les Mages.
*Granordon d’Ex Miscellanea, Maîtresse de la Nécromancie et de la Terre dont le familier était une araignée géante (toujours en "vie"). Son Laboratoire est toujours inexploré dans les niveaux inondés.
*Pitsdim de Flambeau, Maître du Feu dont le familier était un Draco (toujours envie). Son Laboratoire se trouve au niveau 7 et a été exploré par les Mages.
*Ventus Gurges de Bonisagus, Maître de l’Air dont le familier était un faucon. Son Laboratoire se trouve au niveau 9 et a été exploré par les Mages.
*Ierimyr de Bjornaer, Maître des Animaux et de l’Esprit dont le familier était le premier Fureton. Son Laboratoire se trouve au niveau 6 et a été exploré par les Mages.
*Mormool de Merinita, Maître des Illusions dont le familier était une taupe (toujours en vie ?). Son Laboratoire se trouve au niveau 6 et a été exploré par les Mages.
*Drininkeana de Diedne, Maîtresse des Plantes dont le familier était une dryade (toujours en vie). Son Laboratoire se trouve au niveau 6 et a été exploré par les Mages.
Peu après la Troupe se rendit compte de la disparition du page du chevalier de Montpallier, Paul Guevarre. Orion de Verditius tenta de le retrouver par sa magie de détection mais la piste se perdit dans le Voile aux Illusions. Son lien mystique ne menait à rien… Luc Tremouise quant à lui, le conseiller du chevalier, possédait une forme de Don qui expliquait sans nul doute sa fascination pour la Troupe. Ma Dame décida de partir en quête du jeune page sur le dos d’Igack le Draco, réveillant de vieux souvenirs enfouis de chasse et de traque chez la créature. Ils n’eurent cependant le temps que de voler quelques minutes avant de rentrer à Calebaïs, persuadés d’avoir accomplis leur mission (Note : Estrella de Bonisagus implanta dans leur esprit par magie le souvenir d’une chasse réussie, bien entendu à leur insu…). Le reste de la Troupe partit alors à la poursuite du jeune homme avec Montpallier et ses hommes les plus sûrs, suivant sa piste ésotérique pendant deux jours et deux nuits en direction de Toulouse.
Ils parvinrent finalement à libérer le page des mains d’un groupe de brigands mais il ne put leur en apprendre plus, son esprit semblait avoir oublié tout de son enlèvement. Ils comprirent néanmoins par déduction, additionnant de nombreux indices et rumeurs, qu’il s’agissait de l’héritier perdu de la famille qui régnait jadis sur la région, la famille de Blancastel. Cinq liens mystiques semblaient le relier à divers lieux des environs : la colline des Deux-Pics (où se trouve Calebaïs), un bourg au Nord-Ouest : Tarascon (où furent découverts son moine d'oncle et certains objets de famille), un lieu au Sud-Est (à identifier), un au Nord : le hameau de Lacombe (pour une raison encore inconnue ; devenu un important village depuis) et un autre au Sud : Blancastel (vestige du fief de ses ancêtres depuis reconstruit). Les Mages décidèrent de garder cette information par devers eux, s’en servant à leur profit et celui de l’Ordre d’Hermès dans les années qui suivirent.
Malheureusement la sombre magie qui avait causée la perte de Calebaïs la Grande était à l’œuvre, agissant à l’insu de tous, profitant de la division géographique de la Troupe. Dame Mélisandre de Mérinita portait depuis plusieurs jours déjà un des étranges diadèmes découverts sur le corps d’un des Mages abattus par l’Embrasement, et son comportement changeait ; elle si altruiste et généreuse devenait hautaine et orgueilleuse. Elle mena les deux premières tribus de Furetons réunifiées à l’assaut de la plus puissante, celle qui régnait sur l’ancien Sanctum d'Ierimyr. Une discussion que je ne pourrais relater en ces pages s’ensuivit avec l’âme en peine qu’était devenue la puissante Archimage, à l’esprit enténébré par la folie depuis de trop longues années de solitude…(la Troupe apprit par la suite qu'en réalité c'était Eono qui en était responsable) Ce furent finalement les champions Furetons qui réglèrent leurs différends par un duel encore conté par ces créatures aujourd’hui.
Leur légendaire héros Patte-Blanche, encore adoré pour avoir chevauché sa Déesse lors d’une folle équipée, l’emporta sur le porteur du bouclier magique de la tribu du sixième niveau. L’objet fut confisqué par Dame Mélisandre, qui remit au vaillant vaincu un collier de huit cornes de Satyre, insigne honneur s’il en est pour cette race belliqueuse. Il fut cependant rendu au héros Fureton par la suite, devenant un des artefacts adulés et portés lors des grandes batailles.
Persuadée par la puissante magie du diadème, création de l’Archimage Mormool, d’être devenue la Déesse et la protectrice des Furetons, ma maîtresse utilisa sa magie et l’énergie de nombreux pions de Virtus Terram pour bâtir deux statues à sa gloire. L’une d’elle, autrefois située dans le jardin du cinquième niveau, est une magnifique représentation de Dame Mélisandre vêtue d’une simple tunique qu’elle affectionne tant, d’un marbre vert à la beauté saisissante, tandis qu'elle caresse d’une main leste la tête d’un albinos de marbre blanc et de l'autre l'épaule d'un guerrier de marbre noir. Elle fut par la suite enchantée lors d'un étrange rituel mené par les Chamans Furetons qui "aspirèrent" le Virtus présent dans le Jardin. Haute de près de trois mètres, elle trône désormais au sommet de leur autel au cœur du Temple des chamans qui jouxte le jardin.
La seconde fut érigée au sixième niveau. De nombreux Furetons prosternés y admirent une Mélisandre plus vraie que nature brandissant vers les cieux un collier de cornes de Satyre.
Persuadée par la puissante magie du diadème, création de l’Archimage Mormool, d’être devenue la Déesse et la protectrice des Furetons, ma maîtresse utilisa sa magie et l’énergie de nombreux pions de Virtus Terram pour bâtir deux statues à sa gloire. L’une d’elle, autrefois située dans le jardin du cinquième niveau, est une magnifique représentation de Dame Mélisandre vêtue d’une simple tunique qu’elle affectionne tant, d’un marbre vert à la beauté saisissante, tandis qu'elle caresse d’une main leste la tête d’un albinos de marbre blanc et de l'autre l'épaule d'un guerrier de marbre noir. Elle fut par la suite enchantée lors d'un étrange rituel mené par les Chamans Furetons qui "aspirèrent" le Virtus présent dans le Jardin. Haute de près de trois mètres, elle trône désormais au sommet de leur autel au cœur du Temple des chamans qui jouxte le jardin.
La seconde fut érigée au sixième niveau. De nombreux Furetons prosternés y admirent une Mélisandre plus vraie que nature brandissant vers les cieux un collier de cornes de Satyre.
De retour à l’Alliance après de longues journées de pérégrination à travers champs et forêts le reste de la Troupe découvrit les nouvelles occupations de ma maîtresse, ses œuvres et la disparition du coffre contenant les réserves de Virtus. Les Mages, semble-t-il, s’emportèrent contre ma maîtresse, accusant le diadème de la transformer peu à peu, comme jadis les orgueilleux constructeurs de Calebaïs. De colère, Dame Mélisandre jeta le bijou enchanté au cœur des illusions du Sanctum de Mormool, où plongea à sa suite Orion de Verditius qui reparut peu après avec le coffre magique et plus étrange, avec un diadème. Folle de rage, ma Dame lui arracha violemment et partit au cœur des illusions de son glorieux prédécesseur afin que personne ne puisse remettre la main dessus.
(Note : Il manque la Bataille Finale pour laquelle je n’ai pas de notes… Si quelqu’un peut mettre un premier jet).
La suite...
La suite...
D'après mes notes Drininkeana était Mérinita et non Diedne.Ce qui entraîne pas mal de questionnements vu que les Diedne au milieu du XIe siècle (lors de l'embrasement), était en cours d'élimination ou éliminés. Attention ça remonte à mes souvenirs de notre Gant et aux informations obtenus sur la Maison disparue à l'époque.
RépondreSupprimerJ'ai gagné?
Il y a deux choses à voir, et la deuxième est du même ordre mais plus difficile à repérer ... zieute bien !
RépondreSupprimerPour la première tu as vu juste, tes notes n'étaient pas erronées, mais les éléments trouvés dans le laboratoire de Drininkeana par Orion lors de ses 3 saisons d'étude lui ont permis de le découvrir. Les Diedne ont disparu début XIème et la mage s'est donc sans doute faite oublier, à moins qu'elle ne soit morte depuis cette époque antérieure à l'embrasement, ou bien encore cela peut en être une des origines ... allez savoir ?
Lors de ses recherches à Doïsseteppe, pour préparer l'émancipation de la Troupe et la souveraineté de la nouvelle Calebaïs, Gilles de Jerbiton, retrouve la Charte constitutive de l'ancienne Calebaïs avec la liste de ses mages. Il s'aperçoit que certains mages n'étaient pas référencés à la bonne Maison. Les corrections ont été apportées.
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