Ces objets sont rangés dans un coffre, au cœur du niveau inondé, protégé par les pièges ! Leur utilisation est soumise à l'autorisation du Conseil des Magi.
- Manteau des Quatre Ordres
Faite de quatre parties différentes correspondant chacune à une des quatre classes de la société (noblesse, clergé, bourgeoisie, paysannerie) (
origine: laboratoire d'Erechteus).
Le manteau contient le sort : « Image déguisée » (
Muto Imagonem Niveau 15, p.230 d'
Ars Magica). Pour l'activer le porteur doit palper le tissu correspondant au "membre" concerné, il en prend aussitôt l'aspect lui permettant de se faire passer pour un membre de la catégorie sociale souhaitée, 3 fois par jour, durée : aube / crépuscule.
(Étudié par Orion de Verditius à l'hiver 1153.)

Enchantement mineur contenant le sort Hésitation (
Mu Me 20)
qui oblige tout attaquant à perdre un tour à admirer le casque avant de
pouvoir livrer sa première attaque contre son porteur, que ce soit au
corps à corps ou à distance. Si le porteur réussit son jet de vigilance
durant ce tour, il gagne automatiquement initiative pour le prochain,
lui permettant de se mettre à couvert ou de dégainer le premier. (
origine: champs de bataille entre les armées des morts romains et germains, Flandres)
(Étudié par Mélisandre de Merinita à l'automne 1165)
Enchantement mineur contenant le sort : Moisson commode (
Re He requisit Mu
20) permet de manier la faux sans aucun effort, en effet elle se livre
seule au labeur dès qu'on l'empoigne aussi longtemps qu'on la garde en
main, de plus les gerbes se sèchent immédiatement et se constituent
d'elles mêmes, se liant par l'un des brin qui la compose, ne laissant
plus au paysan que le soin de la ramasser. Elle permet ainsi à un paysan
de faire en 1 journée le travail d'1 semaine, ce qui est
particulièrement pratique pour tout moissonner avant que la pluie ne
tombe et fasse pourrir la récolte pendant son séchage. (
origine: les ruines d'un village disparu sous les eaux, Flandres)
(Etudiée par Mélisandre de Merinita à l'hiver1165)
Enchantement mineur contenant le sort : Labour sans labeur (
Re Te
20) permettant à la charrue à laquelle il est fixé de labourer seule sans besoin d'être
tractée par une bête de bât, il suffit d'un enfant au frêles bras pour
la guider dans les sillons. (
origine: les ruines d'un village disparu sous les eaux, Flandres au Nord de Crintera) (
Étudié par Gilles de Jerbiton à l'hiver 1166)
.
- Plastron de centurion (en possession de Sigusen depuis l'automne 1167) :

-
en bronze
parfaitement conservé et ouvragé qui contient encore l'âme de son
porteur, Gladius Aguilus (FM 40 + aura). Si une femme porte l'armure
elle lui semblera inconfortable en raison de la compression de sa
poitrine. Si un homme la porte, et qu'il dégaine son épée, ou se livre à
un combat, même d'entrainement, l’esprit prend possession du porteur
(double vue 12+ ou pour s'en apercevoir). Gladius est un patricien
romain du IVe siècle, devenu vampire puis tombé au combat contre les
germains contre qui il croit toujours être en guerre. Il parle un latin
délié quoi que martial, s'exprimant par phrase courtes et impératives.
Il est conscient de n'être qu'un fantôme mais pas des 8 derniers siècles
écoulés. Si un mage l'étudie avec un facteur de sécurité inférieur à +4
ou bien se livre à l'expérimentation mystique, il est automatiquement
possédé par Gladius pendant le reste de la saison Durant cette période
chaque semaine un des membres de l'Alliance disparaitra et sera vidé de
son sang par Gladius qui s'en abreuvera. Il épargnera ceux qui portent
un vêtement ou bijou en rapport avec Rome ou le Christ, il chassera
préférentiellement ceux qu'ils considérera comme des barbares. La
possession involontaire entraînera la sonnerie de la cloche d'Ibbyn,
mais pas la mort des habitants sauf si le rituel de la cloche a été
réalisé). (enchantement majeur non hermétique, il s'agit d'un fétiche
garou, le théurge qui en est l'auteur a soumis l'esprit de Gladius qui
se refusait à reconnaître sa défaite à demeurer prisonnier de l'armure
et de la présumée puissance, pour ne pas dire arrogance romaine qu'elle
représente sur le plan matériel, cet esprit, quoi que considéré
hautement corrompu par les garous, n'est pas infernal pour autant, mais
il a vocation à le devenir si d'aventure il tue pour se nourrir
origine: Étang jonché de cadavres flottants, Flandres au Nord de Crintera). Étudié par Gilles de Jerbiton à l'automne 1167. Il est depuis détenu par Sigusen.
Mât
à l'aigle d'or de la légion romaine. Le mât brisé est facilement remplaçable, l'aigle est en parfait
état ; l'or n'est il pas inaltérable ? Autrefois cette statuette d'or
contenait un puissant enchantement majeur mercurien aujourd'hui disparu
(un théurge loup garou a dissipé cette magie pour lui redonner sa
liberté forme l'esprit d'un aigle), mais il est toujours considéré comme
ouvert à l'enchantement avec 30 pions de Virtus Vim. (origine: champs de bataille entre les armées des morts romains et germains, Flandres)
- Restes calcinés d'objets démoniaques (origine: le berceau de Jeanne, fille de Gilbert de Montpallier et Frénégonde de Pamiers). Étudié au printemps 1171 par Nathanaël de Tytalus. Peuvent servir de focus ou de composants en alchimie, leur étude mystique durant une saison procure + 3xp en Connaissance de l'occulte quel que soit le niveau de départ.
- L'amulette de Bastien de Tarascon (origine: les souterrains de Tarascon, anciennement une base ésotérique romaine pour combattre les loups-garous et autres créatures magiques de la région). L'amulette protège contre tout dégât physique et pouvoir mental si son porteur dispose d'au moins un point de Foi. Il s'agit d'un objet divin dont les règles de magie échappent aux lois et connaissances hermétiques. Étudié à l'été 1171 par Nathanaël de Tytalus.
- Relique de Saint-Jacques (origine: à Bayonne, le prêtre qui s'en était pris à Nathanaël de Tytalus, voir le 34e chapitre pour plus de détails). Une coquille du pèlerinage portée en sautoir sur une fine chaîne d'or. Cette relique renforce les pouvoirs et la résistance magique du prêtre (+10 d'amplitude par point de foi du porteur). Il s'agit d'un objet divin dont les règles de magie échappent aux lois et connaissances hermétiques. Étudié à l'automne 1171 par Nathanaël de Tytalus.
Les anciennes possessions du Vampire Léosthène :
- un fétiche loup-garou (enchantement majeur dissipé),
fabriqué en plumes, griffes, crocs, gemmes liés à un bâton noueux,
ouvert à l'enchantement avec 100 pions de Virtus Vim ! (origine: crypte sous le donjon de Tarascon)
- une vouge (enchantement majeur dissipé) fabriquée en argent, ouvert à l'enchantement avec 32 pions de Virtus Vim ! (origine: crypte sous le donjon de Tarascon)
- un miroir (enchantement
majeur dissipé) fabriqué en verre de 6 pieds de haut sur 3 de large,
avec un cadre d'argent, ouvert à l'enchantement avec 50 pions de Virtus
Vim! (origine: crypte sous le donjon de Tarascon), offert à Dame Eleonore par Gilles de Jerbiton, elle l'emporte avec elle lors de son départ en 1174.
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